S
Rue des Solitaires
Existait déjà en 1730.
A l'origine elle s'appelait « la rue
des deux Solitaires », car y habitaient deux religieuses appartenant à la
congrégation des Solitaires
Déchaussées de l'ordre de Sainte- Claire et dont les membres vivaient dans la retraite et le silence.
Recherches en cours afin de savoir où elles habitaient précisément ....
Entre le début du siècle et les années 1950- 1960, à l'entrée du haut de la rue des Solitaires, il y avait 2 cafés.
Celui de gauche est toujours là, celui de droite a été remplacé par une épicerie
La balade découverte du passé et du présent de la rue des Solitaires,
et afin de suivre le chemin de l'eau de ruissellement,
débute en haut de la rue, sous la Place des Fêtes
Tel un inventaire de ce qui a existé, de ce qui n'existe plus,
de ce qui a subsisté, de ce qui a été remplacé
Photos prises entre 1980 et 2022
Nos souvenirs se mêlent aussi aux souvenirs des
personnes rencontrées au fil des années...
Une rue pavée particulièrement pittoresque, remplie de charme qui s'amuse avec ses portes d'entrées ornées de ferronnerie toutes aussi différentes les unes que les autres et qui s' amuse tout autant avec les différents styles architecturaux de ses maisons !
Façade du 1er immeuble situé sur la droite en descendant.
débute en haut de la rue, sous la Place des Fêtes
Tel un inventaire de ce qui a existé, de ce qui n'existe plus,
de ce qui a subsisté, de ce qui a été remplacé
Photos prises entre 1980 et 2022
Nos souvenirs se mêlent aussi aux souvenirs des
personnes rencontrées au fil des années...
Une rue pavée particulièrement pittoresque, remplie de charme qui s'amuse avec ses portes d'entrées ornées de ferronnerie toutes aussi différentes les unes que les autres et qui s' amuse tout autant avec les différents styles architecturaux de ses maisons !
Façade du 1er immeuble situé sur la droite en descendant.
L'immeuble suivant au n° 49 aurait été construit en 1860. La peinture murale a été restaurée par l'artiste peintre Danielle Choukroun dont l'atelier est au 20 rue de la Villette
https://www.facebook.com/DanielleChoukrounArtiste/posts/572026619882424/
Nous avons malencontreusement oublié le nom de l'artiste qui à réalisé cette peinture, un grand merci à la personne qui nous communiquera son nom
Derrière, la vigne qui pousse n'est pas sans nous rappeler
le passé des illustres vignobles Bellevillois qui foisonnaient sur notre plateau.
le passé des illustres vignobles Bellevillois qui foisonnaient sur notre plateau.
Sur la gauche, au printemps, le prunus japonica du jardin de cet immeuble est une pure merveille !
Au n° 46 et 48
il y avait entre le début du siècle et 1950 une école libre tenue par des curés qui devient plus tard l’École Saint-Jean- Baptiste de Belleville. Disparue depuis.
Au n° 41, jusqu’en 1907,
il y avait le Regard du Marais , dont avait parlé Bernard Fournier dans une de ses chroniques " Une histoire d'eau" des bulletins d'Histoire du 3e arrondissement de Paris" En rapport avec l'ancien aqueduc de Belleville. Il s'agissait d'un captage des eaux de ruissellement et des eaux des sources environnantes , installé par les moines de Saint Lazare dès le XIIe siècle. Le conduit alimenta dans un premier temps la léproserie du Faubourg Saint Denis, puis les fontaines de Paris.
Au début du siècle, il y avait au fond du jardin de cet immeuble, un passage qui menait au 4 rue des Mignottes, le nom ancien de la rue Arthur Rozier. Elle a du reste conservé son appellation dans la deuxième partie de la rue à l'intersection de la rue Compans . Avec un des propriétaires de l’immeuble, nous avons été dans la cave mais le regard a été emmuré... En 2018 une très jolie rénovation de l'immeuble a été réalisée.
Il y avait au n° 44
le Regard Le Couteux, enclavé dans le sol de la cave. Construit sans doute, selon l'historien Emmanuel Jacomin, au XVIIe siècle . Le captage de sa canalisation provenait avec celle du Regard du Chaudron situé au 6 rue de Palestine, d'un affluent de l'aqueduc de Belleville.
Derrière la grille fermée, durant quelques années et jusqu'en 2017, il y a eu le réparateur de vélo...
Au n° 47, dés 1931, il y eut l'implantation du couvent du centre de mission des frères Franciscains de l'ordre des frères mineurs déchaussés.
Les franciscains ont acquis, après mult recherches, cet hôtel particulier, doté d'un grand jardin arboré, afin de retrouver dans Paris, une vie monastique perdue. Et comme suite aux expulsions des congrégations religieuses et l'exil des religieux, entre 1880 et 1903
Fonds archives Couvent Saint François
Les anciens du quartier racontent qu'ils croisaient souvent dans la rue les moines marchant pieds nus. Suite à de longues négociations avec des marchands de biens, ce joli couvent a été malheureusement détruit. Et en 1970, les franciscains et leur couvent ont été relogés dans une aile des immeubles nouvellement construits. Puis les frères Trinitaires s'y sont installés. Actuellement , au fond du jardin , avec une autre entrée située au 5 rue de Crimée , depuis 3 ans, il y a le couvent des Sœurs Salésiennes de Marie immaculée. Cette institution se compose de sœurs revenant de missions lointaines et de sœurs très âgées . Très actives dans le quartier, en plus de leurs missions religieuses, elles visitent les personnes isolées, animent des ateliers mémoire, proposent des cours d'alphabétisation, et cours de Français aux chinois, assurent aussi les missions du secours populaire.
N° 43/45 il y avait en début de siècle une institution pour jeunes demoiselles tenue par Madame Léon Tabouret- Folie.
N° 40 une maison ancienne.
Un artiste peintre, Bruno Collet, qui participait aux AAB, y a habité de 1987 à 2010. A l'intérieur il y a encore la loge de la concierge (mais sans la concierge !)
36 et 38 rue des Solitaires
L'accès au Palais Royal de Belleville . Un lieu insolite et pittoresque fait de pavillons et de petits immeubles. Plusieurs arrières cours nous conduisent au 151 de la rue de Belleville. Une habitante du site me racontait, qu'il y a 70 ans elle entendait et voyait passer régulièrement un troupeau de chèvres rue de Belleville.
Un homme extrêmement attachant , Alexandre avec une histoire de vie incroyable y habitait depuis 1965, avec sa femme Jacqueline la présidente de l'association des " Joyeux trotteurs des Buttes".
Deux excellents guides du quartier y proposent des visites commentées. Vous trouverez leurs programmes dans l'Officiel du spectacle.
Patrick Bezzolato
Stéphane Meusnier
Un combat de riverains depuis 2023
En 2023, une grande mobilisation des habitants de la rue des Solitaires a créé le collectif des riverains de la Cité du Palais Royal de Belleville, afin de s'opposer, sur le site de l' ancien atelier d'artiste de Eugène & Gena Péchaubès à un projet urbanistique, qui ne respecte pas les nouvelles directives de la Ville de Paris (PLU bioclimatique) en matière de la protection et de la préservation des îlots de verdure Paris. Depuis le collectif organise régulièrement le dimanche des apéros festifs, afin d'informer les habitants du quartier des avancées des procédures juridiques et faire signer la pétition.
Les membres du collectif
De gauche à droite, Geneviève, Beachlé, en soutient à leur combat Andréas Pilartz, adjoint au Maire du 19e, élu vert, chargé de la transition écologique, de la nature en ville, de la propreté, de la mobilité, du plan vélo et des canaux et Natalie.
Pour vous tenir au courant du projet architectural , des actions en justice, des jours des réunions -apéros,
pour rejoindre le collectif,
sur Facebook,
"Collectif des riverains de la Cité du Palais Royal de Belleville"
N° 36 rue des Solitaires
Jusqu'en 1993 un artisan tenait
Jusqu'en 1993 un artisan tenait
un magasin de très beaux carrelages et céramiques très joliment peintes en provenance direct du Portugal.Il proposait même du sur mesure ! Vous pouviez apporter une photo, un dessin, une idée... Il vous la reproduisait sur des carreaux de céramique.Au milieu de son magasin trônait une fontaine, sans doute en rapport avec les regards situés non loin de là Extrêmement dynamique,
notre artisan a organisé dans la rue des Solitaires une journée incroyablement festive,"Fado et dégustation de sardines grillées au feu de bois" Dans notre rue, les passants et riverains dansaient chantaient riaient, se parlaient...Ce fut véritablement une magnifique journée, avec ambiance village reconstituée ! Nous avons gardé sa carte de visite...Puis, une librairie, journaux l'a remplacé . Ensuite un magasin qui vendait du matériel électrique s'y est installé . Actuellement c'est un appartement...
notre artisan a organisé dans la rue des Solitaires une journée incroyablement festive,"Fado et dégustation de sardines grillées au feu de bois" Dans notre rue, les passants et riverains dansaient chantaient riaient, se parlaient...Ce fut véritablement une magnifique journée, avec ambiance village reconstituée ! Nous avons gardé sa carte de visite...Puis, une librairie, journaux l'a remplacé . Ensuite un magasin qui vendait du matériel électrique s'y est installé . Actuellement c'est un appartement...
En 1999, un ancien du quartier m'avait dit, qu'un maire du 19e avait habité cet immeuble, sans m'en donner le nom ?
Il y avait le Bon Coin, café hôtel qui vendait aussi du charbon. Ce café a attiré énormément de photographes et de peintres ! Mireille du Colombage, nous racontait, que certains habitants du quartier y allaient uniquement pour téléphoner, à l’époque très peu de gens possédaient le téléphone....
1975, photo de Sudor
1967, photo de Léon Claude Vénézia
Un grand immeuble en brique, construit par l'architecte Aubé en 1904, resté désaffecté durant très longtemps, pour cause de refus de permis de construire . Avec un collage ancien de Levalet
Projet de la construction d'un hôtel ?
Au n° 31 Depuis 1994 le temple Hindouiste. Avant 1994 il y avait une agence de voyage.
Voir article sur ce temple
https://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2019/11/le-temple-shri-muthukumaraswamy-alayam.html
Au n° 30 bis de la rue des Solitaires, il y a eu l'agence immobilière, Let's go Immobilier
Depuis l'agence a été transformée en centre de tri Postal
Avant l'agence immobilière il y avait un salon de beauté !
Avant l'agence immobilière il y avait un salon de beauté !
N° 30 rue des Solitaires
Dans les années 1980, 1990, il y avait une boulangerie. Les murs de l'intérieur étaient ornés de magnifiques mosaïques ! A côté Il y avait le Hammam conçu dans le cadre d'un chantier d'insertion,
par l'architecte Iro Bardis.
Premier hammam de Paris équitable et solidaire. Ses murs étaient revêtus de Tadelakt, un enduit de chaux à l'eau brillant et imperméable. Il était réservé uniquement aux femmes.
Avant le Hammam , dans les années 1980, 1990... Il y avait un restaurant épicerie Yougoslave, le Brazan. A l'époque, Les Yougoslaves étaient nombreux dans le quartier. Ils travaillaient pour la plupart dans des ateliers de couture. Ils se retrouvaient là avec les habitants du quartier qui y venaient faire leurs courses mais aussi pour discuter!
Puis en juillet 2020 une nouvelle activité vient de s'y implanter !
Au n°27 encore un petit commerce de fermé
Portion comprise entre la rue de Palestine et la rue des Annelets
Portion comprise entre la rue de Palestine et la rue des Annelets
Au n° 28 à l'angle de la rue de Palestine il y avait un café restaurant. Transformé depuis longtemps en maison d'habitation
En face , autour des années 1980 et durant de nombreuses années il y avait le restaurateur de tableaux, Yves Mugnier, qui exposait de magnifiques toiles dans sa vitrine. Actuellement transformé en maison d'habitation
Au 24 de la rue des Solitaires
au fond du jardinet, l'atelier du peintre Marc Tanguy. Installé sur une ancienne fabrique de pièces métalliques.
En attendant d'aller voir ses peintures à l'occasion des portes ouvertes des artistes de Belleville
A l'étage du petit immeuble Lumi une merveilleuse artiste peintre et lithographe
En attendant d'aller voir ses peintures au moment des Ateliers portes ouvertes des artistes de Belleville
https://www.artistics.com/fr/lumi.mizutani
La super jolie maison du n° 22
La vitrine du rez de chaussée change régulièrement les objets qui y sont exposés !
La super jolie maison du n° 22
La vitrine du rez de chaussée change régulièrement les objets qui y sont exposés !
se trouvait la société Coopérative de consommation, "les Amis prévoyants" Puis au même endroit, il y a eu une boucherie ! Stéphane Meusnier, le guide conférencier y a vécu. Sa famille y était installée depuis 1895...
encore de jolies maisons qui viennent d'être rénovées . Elles ont été construites au début du XIXe siècle. Le jardinet possède un énorme cerisier.
Dans les années 2000, il y a eu un dimanche sur cet espace piéton,
un apéro très sympa entre voisins du quartier !
Valérie Poisson,
magnétiseuse et énergéticienne y a installé son cabinet
Voir l'article détaillant tous ses talents !
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2020/01/valerie-poisson-une-magnetiseuse.html
le peintre sur enseigne a habité ici durant très longtemps. Personnalité attachante de la rue, intarissable sur l'histoire du quartier, nous a quitté cet hiver 2020.
Sur le mur entre le n° 19 et le N°21 de la rue, la street artiste Mariane Mazel, a peint, en début novembre 2022 une Demoiselle Hirondelle
Une belle maison pleine de charme toujours joliment fleurie !
Et qui amène sans aucun doute un cachet supplémentaire à la rue. Construite au début du XIXe siècle. Elle a été rénovée par Lepissier Architecture A été habitée successivement par des graphistes, puis par le metteur en scène Luc Bondy, directeur du théâtre de l'Odéon, et sa femme, Marie-Louise Bischofberger, puis par une maison d'hôte recommandée par le Petit Futé,
puis par Thomas un éditeur musical !
puis par Thomas un éditeur musical !
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2020/01/la-jolie-maison-au-19-rue-des.html
Les maisons des n° 22 et n°18 les plus photographiées
Et qui changent de couleur au fil des ans ...
Les maisons des n° 22 et n°18 les plus photographiées
Et qui changent de couleur au fil des ans ...
Maisons construites au début du XIXe siècle,avant l'annexion du village de Belleville à Paris ! Sur la façade de deux petits immeubles
accolés nous
pouvons voir au n° 20, une
statue de Cérès, dans la mythologie
romaine, elle est la déesse de l'agriculture, des moissons et de la fécondité
et au n ° 18 une statue de Mercure, dans la mythologie
romaine il est le dieu du commerce, des
voyages et est messagers des autres
dieux Nous ne connaissons toujours pas les intentions du 1er propriétaire quant aux choix de ces deux sculptures hormis le goût prononcé de l'époque pour l'antiquité m'a indiqué la propriétaire.
Au n ° 13 (disparu),
Il y avait déjà en
1833 un bal très prisé « le Bal de Noël ». Cité dans « Bals
champêtres », d'Auguste Luchet. "Bal
bien tenu, recevant une foule élégante et joyeuse issue de la classe moyenne de
tous les quartiers de Paris." Nous le retrouvons également cité en
1853 et 1885. Puis ce fut la maison d'un des Maires du 19e arrondissement
Quand je suis arrivée dans le quartier, dans les années 1980, les personnes âgées me racontaient toutes que au début du siècle cette rue fourmillait de petits commerces, épiceries, boulangeries,
boucheries, cafés, restaurants et d’ateliers d'artisans... Et qui peu à peu ont
complètement disparu.
Une succession de petites maisons avec pour certaines des jardins à l'arrière et qui concourent au charme de cette rue . En hiver les odeurs de feu de cheminée vous enveloppent dans des images de villages de campagne !La nuit sous la pluie les pavés y brillent très joliment. En hiver à l'arrivée de la première neige ,avec l'éclairage des réverbères,on a l’impression d'être dans les chants de Noël de Charles Dickens illustré par Roberto Innocenti.
Les portes de la rue toutes différentes !
12 rue des Solitaires le Street artiste, en 2020, Patrick Ender est venu poser un collage sur la fenêtre condamnée. En 2022, le collage a disparu ...
N° 10 rue des Solitaires
Au n°4 , autour des années 1970, il y avait un garage de réparations de voitures. En 1990 il fut remplacé par l' atelier de décolletage Branco, qui fabriquait des pièces mécanique. Le premier étage était habité par une repasseuse. En face il y avait un salon de coiffure . Puis le nouveau propriétaire le réhabilita en une très jolie maison d'habitation.
Puis une succession de petites maisons qui étaient au début du siècle des commerces et des ateliers, dont on ne plus lire les inscriptions...
A l'angle de la rue des Solitaires le Café restaurant l'Escargot
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2014/03/restaurant-bar-lescargot-langle-des.html
La pailla cuisiné par Fred
pour les vides greniers de la rue de la Villette
Street art sur la devanture
2022
Collage d'une des Demoiselles de Mariane Mazel sur le mur du café. Cette artiste peintre a sorti l'Art dans les rues du quartier ! Encore une balade en mode chasse au trésor et découverte de notre quartier sur thème Street Art. Voir l'article et la page Mariane
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2019/11/demoiselle-mm-lart-dans-nos-rues.html
https://www.facebook.com/demoisellemm/
https://www.facebook.com/demoisellemm/
En ce moment celui de 13bis
Début de la rue donnant dans la rue de la Villette
Et comme la chanson continue a nous trotter dans la tête, nous vous recommandons vivement les souvenirs de
Eddy Mitchell la rue des Solitaires et le quartier
http://www.mitchell-city.com/belleville/belleville.htm
Les souvenirs d'une enfance dans le quartier d' Yves Bohain. Il a habité la rue des Solitaires entre 1952 et 1968
Lien vers les articles sur la rue de Belleville,
dont le Palais Royal de Belleville au n° 151
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.fr/2013/05/b-rue-de-belleville.html
Lien vers la bibliographie vivement conseillée
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.fr/2013/05/bibliographies-des-livres-sur-le-xix.html
dont le Palais Royal de Belleville au n° 151
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.fr/2013/05/b-rue-de-belleville.html
Lien vers la bibliographie vivement conseillée
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.fr/2013/05/bibliographies-des-livres-sur-le-xix.html
nice blog, thanks for sharing this valuable information about keep sharing
RépondreSupprimerdiamonds
Thank you.
RépondreSupprimerUne rue pleine de mystères !
RépondreSupprimerhttps://ruesdesolitaires.blogspot.com/
Bonsoir,
RépondreSupprimersi la rue des Solitaires est particulièrement pittoresque elle est aussi chargée de la mémoire des personnes qui m'ont raconté son passé, ou d'Eddy Mitchell qui l'a fait connaitre dans sa chanson éponyme, ou de photographes qui ont immortalisé des lieux. A quels mystères pensez vous ?
Merci tout plein Martine , pour ce palimpseste spontané , particulièrement émouvant qui donnent de la profondeur aux lieux ....(j'en ai les larmes aux yeux ) ...
RépondreSupprimer(de Milena ;) :)
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