mercredi 8 mai 2013

Rue des Solitaires



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Rue des Solitaires

Existait déjà en 1730.
A l'origine elle s'appelait « la rue des deux Solitaires », car y habitaient  deux religieuses appartenant  à la  congrégation  des Solitaires Déchaussées de l'ordre de Sainte- Claire et  dont les membres vivaient dans  la retraite et le silence.
Recherches en cours afin de savoir où elles habitaient précisément ....


 
Entre le début du siècle et les années 1950- 1960, à l'entrée du haut de la rue des Solitaires,  il y avait 2 cafés.
Celui de gauche est toujours là, celui de droite a été remplacé par une épicerie
 
  
La balade découverte du passé et du présent de la rue des Solitaires,
et afin de suivre le chemin de l'eau de ruissellement,
débute en haut de la rue, sous la Place des Fêtes
Tel un inventaire de ce qui a existé, de ce qui n'existe plus, 
de ce qui a subsisté, de ce qui a été remplacé
Photos prises entre 1980 et 2022
Nos souvenirs se mêlent  aussi aux souvenirs des 
personnes rencontrées au fil des années...
Une rue pavée particulièrement pittoresque, remplie de charme qui s'amuse avec ses portes d'entrées ornées de ferronnerie toutes aussi différentes  les unes que  les autres et qui s' amuse tout autant avec  les différents styles architecturaux de ses maisons !



Façade du 1er immeuble situé sur la droite en descendant.

L'immeuble suivant au n° 49 aurait été construit en 1860. La peinture murale a été restaurée par l'artiste peintre Danielle Choukroun  dont l'atelier est au 20 rue de la Villette 
https://www.facebook.com/DanielleChoukrounArtiste/posts/572026619882424/ 

Nous avons malencontreusement oublié  le nom de l'artiste qui à réalisé cette peinture, un grand merci à la personne qui nous communiquera son nom 


Derrière, la vigne qui pousse n'est pas sans nous rappeler 
le passé des illustres vignobles Bellevillois qui foisonnaient sur notre plateau.

Sur la gauche, au printemps, le prunus japonica du jardin de cet immeuble est une pure merveille !



 Au n° 46 et 48 
il y  avait entre le début du siècle et 1950  une école libre tenue par des curés qui devient  plus tard  l’École Saint-Jean- Baptiste de Belleville. Disparue depuis.


Au n° 41, jusqu’en 1907, 
 il y avait le Regard du Marais ,  dont  avait parlé  Bernard Fournier  dans une de ses chroniques  " Une histoire d'eau" des bulletins    d'Histoire du 3e arrondissement de Paris" En rapport avec l'ancien aqueduc  de Belleville. Il s'agissait d'un captage  des eaux de ruissellement et  des eaux  des sources environnantes , installé par les moines de Saint Lazare dès le XIIe siècle.  Le conduit alimenta dans un premier temps la léproserie du Faubourg Saint Denis,  puis  les fontaines  de Paris.


 Le regard du Marais
Au début du siècle, il y avait au fond du jardin de cet immeuble, un passage  qui menait au 4  rue des Mignottes, le nom ancien de la rue Arthur Rozier. Elle a du reste conservé son appellation dans la deuxième partie de la rue à l'intersection de la rue Compans .  Avec un des propriétaires de l’immeuble, nous avons été dans la cave  mais le regard a été emmuré... En 2018 une très jolie rénovation de l'immeuble a été réalisée.

 


Il y avait au n° 44 
 le  Regard  Le Couteux, enclavé dans le sol de la cave. Construit sans doute, selon l'historien  Emmanuel Jacomin, au XVIIe siècle . Le captage de sa canalisation provenait avec celle du Regard du Chaudron situé au 6 rue de Palestine, d'un affluent de l'aqueduc de Belleville.
Derrière la grille fermée, durant quelques années et jusqu'en 2017, il y a eu le réparateur de vélo...

 
Actuellement une autre activité


 Au n° 47, dés 1931, il y eut l'implantation du couvent  du centre de mission des frères Franciscains de l'ordre des frères mineurs déchaussés. 
 Les franciscains ont acquis, après mult recherches, cet hôtel particulier, doté d'un grand jardin arboré, afin de retrouver dans Paris, une vie monastique perdue. Et comme suite aux expulsions des congrégations religieuses et l'exil des religieux, entre 1880 et  1903
 
Aquarelle du Frère Francis Rouillon en 1947
Fonds archives Couvent Saint François  
  
Les anciens du quartier racontent qu'ils croisaient souvent dans la rue les moines marchant pieds nus. Suite à de longues négociations avec des marchands de biens, ce joli couvent a été malheureusement détruit. Et en 1970,  les franciscains et leur couvent ont été relogés dans une aile  des immeubles nouvellement construits. Puis les frères Trinitaires s'y sont installés. Actuellement , au fond du jardin , avec une autre entrée située au 5 rue de Crimée , depuis 3 ans, il y a le couvent des Sœurs Salésiennes de Marie immaculée. Cette institution se compose de sœurs revenant de missions lointaines et de sœurs très âgées . Très actives dans le quartier, en plus de leurs missions religieuses, elles visitent les personnes isolées, animent des ateliers mémoire, proposent des cours d'alphabétisation, et cours de Français aux chinois, assurent  aussi les missions du  secours populaire.

En place de l'hôtel particulier détruit ,
 le nouvel immeuble construit vers 1968

N° 43/45 il y avait  en début de siècle une institution pour jeunes demoiselles tenue par Madame Léon Tabouret- Folie.






N° 40 une maison ancienne. 
Un artiste peintre, Bruno Collet, qui participait aux AAB,  y a habité  de 1987 à 2010. A l'intérieur il y a encore la loge de la concierge (mais sans la  concierge  !)



Dans les années 1907, i l y avait à cet endroit 
 


36 et 38 rue des Solitaires
L'accès au Palais Royal de Belleville . Un lieu insolite et pittoresque fait de pavillons et de petits immeubles. Plusieurs arrières cours nous conduisent au 151 de la rue de Belleville. Une habitante du site me racontait,  qu'il y a 70 ans elle entendait et voyait passer régulièrement un troupeau de chèvres rue de Belleville.


Un homme extrêmement attachant , Alexandre avec une histoire de vie incroyable  y  habitait depuis 1965, avec sa femme Jacqueline la présidente de l'association des  " Joyeux trotteurs des Buttes".
 
Alexandre et Jacqueline, années 2000
 
 
Deux excellents  guides du quartier y proposent des visites commentées. Vous trouverez leurs programmes dans l'Officiel du spectacle.
Patrick Bezzolato
 
 
Stéphane Meusnier
 
Un combat de riverains depuis 2023  



En 2023, une grande mobilisation des habitants de la rue des Solitaires a créé  le collectif des riverains de la Cité du Palais Royal de Belleville, afin de s'opposer, sur le site de l' ancien atelier d'artiste de Eugène & Gena Péchaubès à un projet urbanistique,  qui ne respecte pas les nouvelles directives de la Ville de Paris (PLU bioclimatique) en matière de la protection et de  la préservation des îlots  de verdure Paris. Depuis le collectif organise régulièrement le dimanche des apéros festifs,  afin d'informer les habitants du quartier des avancées des procédures juridiques et faire signer la pétition.
 
 
Les membres du collectif 

De gauche à droite, Geneviève, Beachlé, en soutient à leur combat Andréas Pilartz, adjoint au Maire du 19e, élu vert, chargé de la transition écologique, de la nature en ville, de la propreté, de la mobilité, du plan vélo et des canaux et  Natalie.


Marc

Rémi
 
Pour vous tenir au courant du projet architectural , des actions en justice, des jours des réunions -apéros,   
pour  rejoindre le collectif, 
sur Facebook,
 "Collectif des riverains de la Cité du Palais Royal de Belleville"
 

N° 36 rue des Solitaires
Jusqu'en 1993 un artisan tenait
un  magasin de  très beaux carrelages et céramiques  très joliment peintes en provenance direct du Portugal.Il proposait même du sur mesure ! Vous pouviez apporter une photo, un dessin, une idée... Il vous la reproduisait sur des carreaux de céramique.Au milieu de son magasin trônait une fontaine, sans doute en rapport avec les regards situés non loin de là   Extrêmement dynamique, 
 notre artisan a  organisé  dans la rue des Solitaires une journée  incroyablement festive,"Fado et dégustation de sardines grillées au feu de bois"    Dans notre rue, les passants et riverains dansaient  chantaient  riaient, se parlaient...Ce fut véritablement une magnifique journée, avec ambiance village reconstituée ! Nous avons gardé sa carte de visite...Puis, une librairie, journaux l'a remplacé . Ensuite un magasin qui vendait du matériel électrique s'y est installé . Actuellement c'est un appartement...
 

Encore une succession de portes d'entrées toutes différentes !








En 1999, un ancien du quartier m'avait dit, qu'un maire du 19e avait habité cet immeuble, sans m'en donner le nom ?
 

A l'angle de la rue des Solitaires et de la rue Arthur Rozier
Il y  avait  le Bon Coin,  café hôtel qui  vendait aussi du charbon. Ce café a attiré énormément de photographes et de peintres ! Mireille du Colombage, nous racontait, que certains habitants du quartier y  allaient uniquement pour téléphoner, à l’époque très peu de gens possédaient le téléphone....


Photo 1970 de Serge Degoud

1970,  photo de Xavier Bouchart

Peinture de Martine Leroy-Mazé


1975, photo de Sudor
 
1967, photo de Léon Claude Vénézia
 
Un grand  immeuble en brique, construit par l'architecte Aubé en 1904,  resté désaffecté durant très longtemps, pour cause de refus de permis de construire . Avec un collage ancien de Levalet 
 

De dos travaux ont finalement démarré en juillet 2023 .
 Projet de la construction d'un hôtel  ?
 

 
Au n° 31 Depuis 1994 le temple Hindouiste. Avant 1994 il y avait une agence de voyage.



 Voir article sur ce temple
https://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2019/11/le-temple-shri-muthukumaraswamy-alayam.html

Au n° 30 bis de la rue des Solitaires, il y a eu  l'agence immobilière, Let's go Immobilier

 Depuis l'agence a été transformée en centre de tri  Postal
Avant l'agence immobilière il y avait un salon de beauté !
 

N° 30 rue des Solitaires

Dans les années 1980, 1990,   il  y avait une boulangerie. Les murs de l'intérieur étaient ornés  de magnifiques mosaïques ! A côté Il y avait le Hammam conçu dans le cadre d'un chantier d'insertion,  
par l'architecte Iro Bardis. 
 

Premier hammam  de Paris équitable et solidaire. Ses murs étaient revêtus de Tadelakt, un enduit de chaux à l'eau brillant et imperméable. Il était réservé uniquement aux femmes.

Avant le Hammam , dans les années 1980, 1990... Il y avait un restaurant  épicerie Yougoslave, le Brazan. A l'époque, Les  Yougoslaves étaient nombreux dans le quartier. Ils travaillaient pour la plupart dans des ateliers de couture. Ils se retrouvaient là avec les habitants du quartier qui y venaient faire leurs courses mais aussi pour discuter!
 
Puis en  juillet 2020 une nouvelle activité  vient de s'y implanter !
 

Au n°27 encore un petit commerce de fermé


 Portion comprise entre la rue de Palestine et la rue des Annelets


Au n° 28 à l'angle de la rue de Palestine il y avait un café restaurant. Transformé depuis longtemps en maison d'habitation
 
 
L'angle de de cette maison attire les street artistes 

2021


 En face , autour des années 1980 et durant de nombreuses années il y avait le restaurateur de tableaux, Yves Mugnier, qui exposait de magnifiques toiles dans sa vitrine. Actuellement transformé en maison d'habitation




 Au 24 de la rue des Solitaires
au fond du jardinet, l'atelier du peintre Marc Tanguy. Installé sur une ancienne fabrique de pièces métalliques.




Peinture de Marc Tanguy
En attendant d'aller voir ses peintures à l'occasion des portes ouvertes des artistes de Belleville
A l'étage du petit immeuble Lumi une merveilleuse artiste peintre et lithographe
 
 En attendant d'aller voir ses peintures au moment des Ateliers portes ouvertes des artistes de Belleville
https://www.artistics.com/fr/lumi.mizutani

La super jolie maison du n° 22
 La vitrine du rez de chaussée change  régulièrement les objets qui y sont exposés ! 
 
vitrine du début décembre 2022
 




Au n° 23 de la rue, au début du siècle,
 se trouvait la société Coopérative de consommation, "les Amis prévoyants" Puis au même endroit, il y a eu une boucherie  ! Stéphane Meusnier, le guide conférencier y a vécu. Sa famille y était installée depuis 1895...
 


 
Au 21 de la rue des Solitaires
encore de jolies maisons qui viennent d'être rénovées . Elles ont été construites  au début du XIXe siècle. Le jardinet possède un énorme cerisier.

Dans les années 2000, il y a eu un dimanche sur cet espace piéton,
 un apéro très sympa entre voisins du quartier  !


 

 
Valérie Poisson,
 magnétiseuse et énergéticienne y a installé son cabinet
Valérie a quitté sa maison en 2023 pour aller vivre à Brocéliande .

Raphaël , 
le peintre sur enseigne a habité ici durant très longtemps. Personnalité attachante de la rue, intarissable sur l'histoire du quartier, nous a quitté cet hiver 2020.

Sur le mur entre le n° 19 et le N°21 de la rue, la street artiste  Mariane Mazel, a peint, en début novembre 2022 une Demoiselle Hirondelle



Au n° 19, à l'angle de la rue des Solitaires et des Annelets
Une belle maison pleine de charme toujours joliment fleurie ! 
 

 Et qui amène sans aucun doute un cachet supplémentaire à la rue.   Construite au début du XIXe siècle. Elle a été rénovée par Lepissier Architecture  A été habitée successivement par des graphistes, puis par  le metteur en scène Luc Bondy, directeur du  théâtre de l'Odéon, et sa femme, Marie-Louise Bischofberger, puis par une maison d'hôte recommandée par le Petit Futé, 
puis par Thomas  un éditeur musical !







http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2020/01/la-jolie-maison-au-19-rue-des.html


Les maisons des n° 22 et n°18 les plus photographiées
Et qui changent de couleur au fil des ans ...

 

Maisons construites au début du XIXe siècle,avant l'annexion du village de Belleville à Paris ! Sur la façade de deux petits immeubles accolés nous pouvons voir au n° 20,   une statue  de Cérès, dans la mythologie romaine, elle est la déesse de l'agriculture, des moissons et de la fécondité et au n ° 18 une statue de Mercure, dans la mythologie romaine  il est le dieu du commerce, des voyages et est  messagers des autres dieux Nous ne connaissons toujours pas les intentions du  1er propriétaire quant aux choix de ces deux sculptures hormis le goût prononcé de l'époque pour l'antiquité  m'a indiqué la propriétaire.


Au n ° 13 (disparu), 
 Il y avait déjà en 1833 un bal très prisé  «  le Bal de Noël ». Cité dans « Bals champêtres »,  d'Auguste Luchet.  "Bal bien tenu, recevant une foule élégante et joyeuse issue de la classe moyenne de tous les quartiers de Paris." Nous le retrouvons également cité en 1853 et 1885. Puis ce fut la maison d'un des Maires du 19e arrondissement 




Quand je suis arrivée dans le quartier, dans les années 1980, les personnes âgées me racontaient toutes que au début du siècle cette rue  fourmillait de  petits commerces, épiceries, boulangeries, boucheries, cafés, restaurants et d’ateliers d'artisans... Et qui peu à peu ont complètement  disparu.



Partie comprise entre  la rue des Annelets et la rue de la Villette
 
Une succession de petites maisons avec pour certaines des jardins à l'arrière et qui concourent au charme de cette rue . En hiver les odeurs de feu de cheminée vous enveloppent dans des images de villages de campagne !La nuit sous la pluie les pavés y brillent très joliment. En hiver à l'arrivée de la  première neige ,avec l'éclairage des réverbères,on a l’impression d'être dans les chants de Noël de Charles Dickens illustré par Roberto   Innocenti.


Les portes de la rue toutes  différentes !
 
12 rue des Solitaires le Street artiste, en 2020,  Patrick Ender est venu poser un collage sur la fenêtre condamnée.  En 2022, le collage a disparu ...




N° 10 rue des Solitaires  


 
Au n°4 , autour des  années 1970, il y avait un garage de réparations de voitures. En 1990 il fut remplacé par l' atelier de décolletage  Branco, qui fabriquait des pièces mécanique. Le premier étage était habité par une repasseuse. En face il y avait un salon de coiffure . Puis le nouveau propriétaire le réhabilita en une très jolie maison d'habitation.







Puis une succession de petites maisons qui étaient au début du siècle des commerces et des ateliers, dont on ne plus lire les inscriptions... 



A l'angle de la rue des Solitaires le Café restaurant l'Escargot
 http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.com/2014/03/restaurant-bar-lescargot-langle-des.html






 
La pailla cuisiné par Fred
 pour les vides greniers de la rue de la Villette

L'équipe de l'Escargot sur la terrasse nouvellement aménagée rue des Solitaires ! On aimerait bien qu'elle y reste définitivement !


Street art sur la devanture
 2022

Street art, collage de Titi from Paris


Collage d'une des  Demoiselles de Mariane Mazel sur le mur du café. Cette artiste peintre a sorti l'Art dans les rues du quartier ! Encore une balade en mode chasse au trésor et découverte de notre quartier sur thème Street Art. Voir l'article et la page Mariane
 
En ce moment celui de 13bis
 
Photo de Claude Muyl

Les pavés sous la pluie et vue sur la Place des Fêtes





 
Début de la rue donnant dans la rue de la Villette 



Et comme la chanson continue a nous trotter dans la tête, nous vous recommandons vivement  les souvenirs de

  Eddy Mitchell la rue des Solitaires et le quartier 
http://www.mitchell-city.com/belleville/belleville.htm 

Les souvenirs  d'une enfance dans le quartier  d' Yves Bohain. Il   a habité la rue des Solitaires entre 1952 et 1968 
 
Lien vers les articles sur la rue de Belleville,
 dont le Palais Royal de Belleville au n° 151
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.fr/2013/05/b-rue-de-belleville.html 

Lien vers la bibliographie vivement conseillée
http://habitantsduplateaudesbutteschaumont.blogspot.fr/2013/05/bibliographies-des-livres-sur-le-xix.html 

4 commentaires:

  1. nice blog, thanks for sharing this valuable information about keep sharing
    diamonds

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  2. Une rue pleine de mystères !
    https://ruesdesolitaires.blogspot.com/

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  3. Bonsoir,
    si la rue des Solitaires est particulièrement pittoresque elle est aussi chargée de la mémoire des personnes qui m'ont raconté son passé, ou d'Eddy Mitchell qui l'a fait connaitre dans sa chanson éponyme, ou de photographes qui ont immortalisé des lieux. A quels mystères pensez vous ?

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