B
Rue de Belleville
du temps jadis au temps présent,
Bien que débordant des limites de notre
quartier tel qu'il apparait sur le plan, nous vous invitons cependant à une
promenade de la rue de bas en haut
se conjuguant au passé et au présent.
Entre les métros Belleville et
Télégraphe.
Nous vous proposons une sélection de
lieux historiques ou insolites, détails pittoresques, ou présences de nouvelles
activités, ressources et richesses, que
nous aimons bien et que nous souhaitons vous faire partager.
Nous ne prétendons pas à l'exhaustivité.
Si vous souhaitez faire une visite guidée de la rue de Belleville à partir du métro
je vous invite et pour éviter la redondance
à consulter les livres de promenades très bien conçus et cités à
la fin dans la bibliographie , liste non exhaustive mais toutefois conseillée
ou les différentes associations qui ont vocation de vous faire découvrir les
différents quartiers de Paris. Vous trouverez, par ailleurs, aisément grands nombre
de sites internet et de blogs sur
Belleville.
Histoire
Allez voir pour le complément à notre chronique du Village de Belleville
La rue de Belleville s'est appelée tour
à tour Chemin de Paris à Poitronville,
Grand chemin du Roy et Rue de Paris !
On ne sait toujours pas précisément si le patronyme de Belleville vient d'une déformation de Bellevue, de Beauvoir ou de Marguerite de Belleville, fille de Charles VI à qui fut donné un domaine à Bagnolet qui s'étendait jusqu'à Poitronville.
En 1860, à l'annexion du village de
Belleville à Paris, le XIX et Le XXème arrondissement ont été volontairement
séparés car le gouvernement de l'époque
y trouvait une population par tradition trop frondeuse. Mais à l'heure
actuelle, dans la pratique quotidienne, rien a changé, l'on passe d'un arrondissement à l'autre sans
grande difficulté aucune,
ne serait-ce déjà que pour y faire nos courses
!
Et pour preuve à voir l'association
des commerçants de la rue de Belleville, qui a réuni les commerçants des
deux arrondissements, association extrêmement dynamique et qui dit -on
serait la plus importante de Paris ! Pour en savoir plus, il suffit
d'aller sur leur site internet enrichi de nombreuses ressources www. Belleville-village.com
ou d'aller les rencontrer à la boutique
« La Source » 9 rue Lassus.
La balade découverte du temps jadis au temps
présent
débute au Métro Belleville
et démarre paradoxalement par des odeurs et des saveurs
venues d'Asie!
venues d'Asie!
Donc
Si vous souhaitez découvrir en visite guidée le quartier
Asiatique et Chinois qui s'étend à présent jusque dans notre quartier, les
commerces qui s'y trouvent , comprendre les idéogrammes tracés sur les
devantures des boutique et prendre des cours de chinois , de calligraphie ou de
cuisine je vous conseille vivement , l'association de Donatien Schramm de
Paris sur Chine
45 rue des Tourtilles 75020 ou de visiter le site : Paris
-sur -chine.com
Plus bas dans la rue qui se trouve derrière le bâtiment
de la CFDT, la librairie du Centenaire.
L'ancien directeur a été le premier distributeur de
livres chinois et asiatique de France.
Ce qui saute tout d'abord aux yeux, c'est cette
magnifique perspective.
Une rue particulièrement en pente et très longue. Bordée
de petits immeubles, sans doute à caractère très modeste mais au demeurant
restant à dimension humaine.
Après l'évocation
du passé, de tous ces petits métiers et commerces disparus
nous sommes témoin de l'implantation de la diversité de nouvelles activités.
N°51, très belle porte sculptée en bois
et l'enseigne d'un très ancien marchand de cuir
« les établissements Noury. »
de
l'autre coté sur un passage d'un trottoir en hauteur très curieux et
très étroit
s'étendant entre les N° 74 à 68;
les marches sur lesquelles la chanteuse, Édith
Piaf, en 1915, a été tout bébé trouvée.
Au N° 58 une herboristerie chinoise.
Au n°
60, l'épicerie orientale le Bazar du
Caire, installée auparavant durant 23 ans de l'autre coté et un peu plus bas
dans une minuscule boutique.
Véritable cave d'Ali baba qui nous émerveille
et nous régale avec ses trésors
d'odeurs, d'épices, de condiments et produits alimentaires venus d'orient .
Au n° 60 la librairie spécialisé en
architecture et urbanisme » le genre Urbain »
Au 83 rue de Belleville une des façades
les plus anciennes de la rue, se trouve
en arrière cour, dans une succession de
bâtiments, l’ancien atelier du Bottier Maurice Arnoult
nommé, Juste des Nations, pour avoir sauvé des Juifs de la déportation, pendant
la guerre de 40/45. Mort au mois d'avril
2010 à près de 102 ans et après avoir
passé + de 75 ans dans cet atelier, emportant avec lui la mémoire de Belleville
et la mémoire des artisans bottiers et « petits métiers » associés,
qui ont tant marqué cette rue et tout le quartier.
LIENS: le livre sur Maurice par Michel
Bloit, mon article résumant sa vie et
mon article en ligne ou ceux des autres sur le site quartiers libres de la
ville des gens, les très beaux sites
et blogs de l'association »
L'Atelier de Maurice » qui a pris la relève de son atelier !
www.maurice – arnoult . Fr; le site « L'Atelier de Maurice »;
maurice Arnoult blogspot
A l'angle de la rue Rébéval face à la
rue Piat qui conduit au Parc de Belleville
existe depuis très longtemps un café.
C'est dans l'ancien café « Tafanel »
vers 1924, en son arrière salle,
que le bottier Maurice Arnoult à appris à lire, à écrire, à compter, à être
initié à la médecine et à là philosophie !
Nous ne pouvons nous empêcher de vous proposer un petit
détour
pour
la découverte de la rue Rébéval
Car c'est une rue extrêmement
pittoresque et pleine de ressources !
Nous pouvons voir sur la gauche un caviste, en face, au n° 93, une des plus
anciennes maisons de Belleville.. En vis à vis des groupements d’immeubles avec terrasses qui demeurent à mon sens comme faisant partie des plus belles réalisations
architecturale du quartier.
Au N°84 existait en 1995 une excellent
librairie mais elle a disparue.
N° 78, ce Très beau corps de bâtiment en
brique orange a tour à tour été occupé
par la fabrique des jeux Mécano puis par
l'école d'architecture.
L'école se trouve actuellement au n° 60
Bd de la Villette dans l'ancien lycée
Diderot magnifiquement réhabilité.
Revenons à la rue de Belleville
Songez à vous arrêter au niveau du métro
Pyrénées pour admirer la vue du haut de la rue, de jour comme de nuit ainsi qu'au levé du
soleil ou en son couché, sous la pluie ou sous la neige, surprise jubilatoire
assurée !
Au N° 88 le vestige de l'emplacement
du mur de la ferme de Savies
A l'angle de la rue des Pyrénées, N° 94,
la cour de la Métairie, authentique cour de
l'emplacement de la ferme. C'est également une
très belle réhabilitation architecturale !
Espace qui à toujours été extrêmement
animé de par l'implantation de
ses multiples et variées activités
Elle abrita l'usine Continsouza qui
fabriquait des appareils pour Pathé et employait plus de 1000 ouvriers. L'usine
fut d'abord rue des Envierges mais elle s'étendit et finit par atteindre la
cour en 1915. Dés lors l'entrée de l'usine se faisait par la rue de Belleville.
L'usine ferma en 1948 et ses
installations furent partagées entre le tout nouveau centre mécanographique des
impôts et d'autres industries telles les chaussures Berthelot.
Juste à coté, rue des Pyrénées, au très beau
Café restaurant le Mistral dit le Petit Bougnat, nous pouvons voir en
son arrière salle, des peintures murales datant des années 70 et reproduisant
des vues des coteaux de Belleville, une reproduction de la première chapelle de
ST Jean Baptiste de Belleville datant du XVI ème siècle. Cet ancien café est tenu de père en fils, depuis 1956. Le
patron fait pousser des vignes sur la
terrasse du fond et produit un vin de
qualité issu de ses propres vignes qu'il possède dans l'Aveyron ! « Le Aoc
Estaing, » que nous vous invitons vivement à aller déguster. Tout comme le
faisait, à toutes les époques, les parisiens qui montaient au village de Belleville pour faire la fête et
boire un vin issu des vignes du plateau de Belleville
Et pour l'atmosphère très sympathique
fleurant bien le passé du village !
En remontant la rue de Belleville sur la
gauche à l'angle de la rue Clavel,
un bâtiment ancien très sobre et joliment
réhabilité.
Puis la petite librairie papèterie du « Presse Papier » qui organise
depuis + de 32 ans des rencontres-signatures avec des auteurs. La liste des
personnalités prestigieuses
qui se sont déplacées pour rencontrer
les lecteurs et admirateurs
de notre quartier est impressionnante !
Au 105 plusieurs arrières cours pavillonnaires,
fleuries avec une fontaine décorée, mais
malheureusement pour nous elle est depuis quelque années clôturée de la rue.
A l'angle de la rue Melingue existe,
toujours, sur le bâtiment qui était l'emplacement du bureau de l'ancien funiculaire
de Belleville jusqu’à la construction du métro entre 1920 et 1935, le blason en faïence de la Ville de Paris.
A l'angle de la rue de la Villette, il y
avait voilà longtemps une croix en fer
encadrée de deux ormes: La croix – Halé
Et c'est sans doute pour cette raison
que la portion de la rue de la Villette à la rue Fessart s'appelait, jusqu'au
XIXème siècle rue Halé et aussi en raison de la présence du moulin du nom de
Halé qui était situé approximativement au niveau de l'entrée des Buttes Chaumont
par la porte Botzaris
En face au N° 117, le très bel ensemble
d'immeubles de la fondation Rothschild, construit en 1908 : pour améliorer les
conditions d'habitation des travailleurs.
A l'origine les terrains étaient
réservés pour une gare souterraine de la petite ceinture qui passe en cet
endroit. L’idée fut abandonnée du fait de la difficulté de réalisation du temps des trains à vapeur.
Puis et toujours en remontant sur la
gauche il y a plusieurs immeubles avec cours verdoyantes,
En face un très joli café d'époque
Arrêtons nous pour regarder l'ensemble de jolies petites maisons basses aux volets verts, Des N° 118 à 122, dans lequel est installée la boulangerie, qui existerait depuis 1880.
En haut se sa façade l'on peut voir le
crocher qui servait à monter farine et le grain au grenier! Excellente boulangerie
pâtisserie et avis aux amateurs de pain aux céréales le leur est
particulièrement savoureux !
Nous signalons au passage une jolie maison
basse au n 126
Juste avant le Monoprix dans le bâtiment en brique rouge, La très
ancienne crèche familiale de la
Fondation, Nelly Martyl. Du nom d'une grande Cantatrice qui pendant la guerre
de 14/18, chantait pour les soldats partis au front.
IL y a 30 ans à la place de la banque qui fait angle avec
la rue du Jourdain,
il y avait un très joli café à l'ancienne
extrêmement fréquenté !
N° Autour des N ° 138 et 136 en
empiétant sur la rue du Jourdan , il y
avait en cet emplacement le fameux et
très prisé cabaret de l'ile d'Amour, bordé par un faussé. Puis en 1847 se
fut l'implantation de la mairie du XXème arrondissement. La première
mairie du XIX ème arrondissement édifiée en 1790 se trouvait
à l'angle de la rue de Belleville avec
la rue de Palestine
Voir l'Article de Maxime Braquet sur le site
de la ville des gens.
http://www.des-gens.net/Qu-y-avait-il-dans-le-trou-du-136
http://www.des-gens.net/Qu-y-avait-il-dans-le-trou-du-136
Depuis 1887 existe, au n° 10 de la rue
du Jourdain la Pâtisserie de l'Église et actuellement 3 générations y
travaillent ensemble !
Au 140 rue de Belleville la boulangerie bien
connue pour sa baguette « la
140 »et ses variétés de pains. Nous ne pouvons que vous invitez à aller
gouter leurs spécialités et à visiter le site internet et histoire de vous mettre l'eau à la
bouche
www.demoncy-vegne.com
Installés tout deux dans de Très beaux
bâtiments possédants de grandes cours fleuries.
Celle du 140 étant particulièrement étonnante
!
De gauche à droite, toujours en
remontant, la rue est truffée d'arrières cours avec d'anciens ateliers
réhabilités en maisons d'habitation. Le plus spectaculaire demeurant en son n°
151 la cité du palais Royal de Belleville.
A
la place du supermarché Franprix au
n° 146, était le cinéma Féeric. Les
anciens s'en souviennent et avec grande nostalgie. C'était leur cinéma de
quartier !
De ce coté de la rue et un peu plus haut, il existe une aire pavillonnaire qui
appartient à la Préfecture de Police.
N° 160, Le dispensaire PMI et la crèche,
centre médicosociale-social, fondé par Robert Garric et reconnu d'utilité
publique en 1922.
Robert Garric est le fondateur des équipes des
œuvres sociales, dont les missions principales étaient la transmission des savoirs et des connaissances en direction du peuple Bellevillois
et par les étudiants. Il a légué cette fondation en hommage au peuple de
Belleville et c'est en ce lieu où il
habitait qu'il a écrit les « Scènes de la vie populaire » dont les
scènes se passent dans notre quartier, publié en 1924.
Présence d'un parc à l'intérieur que l’on
n’a pas pu visiter car le centre est actuellement fermé pour travaux.
Pour en savoir plus nous vous
conseillons l'excellent article d’Anne Stein dans Quartiers Libres sur le
site de la Ville des Gens.
Avant en même place mais s'étendant jusqu'au n° 174, il y avait
le couvent des moines de Picpus acheté
en 1673. L'entrée se faisait par la rue Levert et les jardins descendaient jusqu'à
la rue des Rigoles. Il s'y trouvait une
fontaine d'eau provenant d'une dérivation des eaux de Belleville. Le couvent
fut fermé à la révolution pour se transformer en prison puis fut vendu.
Au n° 169 le regard St louis. Regard classé mais enterré !
Guy Marchand, le chanteur, comédien est né au n°162 rue de Belleville !
Un peu plus haut sur la gauche au niveau
du n°213 de la rue de Belleville, au début de la rue Compans, faites un crochet
pour aller voir notre Regard de la Lanterne
installé dans un petit jardin et contrastant
fortement avec les tours de la Place des Fêtes !
Ce regard est le témoin ne notre
ancienne vocation à alimenter Paris en eau potable.
Et ce Grâce aux moines qui possédaient
au XII siècle quantité de biens, de terres et de vignes à Savies (village de
Belleville). Captage des eaux de
ruissèlement, favorisé par la
composition d'un sol sablonneux et argileux ainsi que par ses pentes drainantes.
Notre joli regard a été Construit au
XVI, afin de surveiller le niveau, la qualité de l'eau ou le vol des eaux
captées dans le bassin de récupération.
L'eau ensuite s'écoulant dans un aqueduc, en
descendant les hauteurs du village de Belleville, jusque dans Paris pour y alimenter les
fontaines.
En ce qui concerne et uniquement notre quartier,
c'est le seul regard visible qu'il nous reste. Ceux des rues de Belleville, de la rue des Fêtes, de
la rue des Solitaires ont été enterrés ou emmurés et celui de la rue de
Palestine est dans la cour
d'un immeuble fermé à la rue.
Pour tout savoir sur notre histoire
d'eau
Lire les chroniques de Bernard Fournier
« une longue histoire d'eau »
dans la revue de l'association
Histoire du 3è arrondissement de Paris
Histoire de Belleville par Emmanuel
Jacomin, aux éditions Henry Veyrier,
Si beaucoup de livres et de sites
internet en parle et même avec des diffusions de vidéos,
nous vous conseillons de profiter des
journées du patrimoine afin
de bénéficier d'une visite guidée
C'est un
endroit superbe et envoutant!
Une association s'occupe même de le
protéger.
Pour ceux qui souhaitent continuer la balade découverte de la rue de Belleville
Jusqu’à la porte des Lilas, bien qu'elle
n'appartienne plus à notre quartier à proprement parlé, tout comme vous allez
le voir, elle complète bien et bellement
l'histoire de notre village de Belleville!
Car
au N° 242, ici en 1771, siégeait la
société des amis de la constitution.
Et surtout, au niveau du n°244 de la rue
de Belleville prenons la rue du
Télégraphe.
Au n° 40, nous retrouvons le troisième
et dernier cimetière de Belleville !
Notre cimetière ayant successivement été
déplacé autour des nouvelles implantations de l'église St Jean Baptiste de
Belleville dont la première chapelle datait du
le XVIème siècle. Il a déménagé dans le XXème arrondissement d'abord
parce qu'il était trop petit pour accueillir plus de tombes qu'il pouvait en
contenir mais aussi à cause d'une loi interdisant les inhumations dans les
villages.
Le cimetière de Belleville, a été ouvert
en1809, sur l'emplacement d'une partie du parc
de l'ancien château de Ménilmontant, propriété de Le Pelletier- de St
Fargeau.
Si Beaucoup de personnalités y ont été
enterrées, dont Gaumont, il n'en demeure qu'à l'heure actuelle en le visitant,
une triste et âpre sensation
de cimetière abandonné vous envahi quand
bien même il est proprement entretenu...
Une grande obélisque rend hommage aux 52
gardes républicains, qui y sont enterrés,
pris en otages et fusillés au n° 85 de
la rue Haxo, à la Villa des Otages, en
1871 par les fédérés du 2ème secteur de
la commune qui était établi.
Si vous souhaitez connaitre les noms des
personnalités qui y sont enterrées,
vous pouvez consulter les sites
officiels des cimetières Parisiens.
C'est aussi au niveau de l'entrée du
cimetière que Chapp en 1793, choisi l'endroit le plus élevé des hauteurs de
notre village (128 m d'altitude),
pour expérimenter son télégraphe !
Si vous souhaitez tout savoir sur Chapp
et l'histoire du télégraphe
vous trouverez toutes les informations
dans des monographies ou en ligne sur internet
Revenons sur la rue de Belleville,
C'est entre les n° 296
à 308, qu'au XIX ème siècle, sur ENCORE une partie de l'ancien parc du
château de Ménilmontant, qu'exista le fameux
et très prisé
« Lac de St Fargeau »
Haut lieu d'amusement et
particulièrement fréquenté pour ses bals et concerts, son restaurant et ses
balades en barque!
Poursuivons plus loin
Bd Serrurier nous vous invitons à
visiter et découvrir les différentes richesses et ressources des Archives de
Paris
Porte des Lilas un grand cinéma et une très grande jardinerie
Ainsi s'achève notre ballade de la rue
de Belleville du temps jadis et du temps présent
Si vous avez des informations ou des
photos, archives à nous communiquer autour des lieux et des personnalités
évoqués, nous vous remercions infiniment de nous contacter
Pour en savoir plus
http//plateauhassard.blogspot.com/2013/la-semaine-sanglante-de-la-commune-de.httml)
Vous trouverez beaucoup d'articles en ligne,
de livres sur la Commune.
Nous privilégions ceux de l'association
des Amis de la Commune et ceux de
l'association d'histoire du XXème
arrondissement
Et surtout la librairie éditrice
spécialisée sur la commune
« DITTMAR »,
située rue des Pyrénées, juste à coté
des escaliers qui descendent
au commencement de la rue Levert.
au commencement de la rue Levert.
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